Je m’appelle Eldrid Ulfarek, mais on préfère m’appeler ... en faite nan me donne pas de surnom. Je suis né(e) il y a 17 printemps, dans un coin paumé d'Irlande, je suis donc Irlandaise. Comme tu peux le voir, je suis une nana, et si mon orientation devait être déterminé, je serais ... Au pire on s'en fou j'aime tout l'monde. Je suis dans l’école depuis 10 ans, en tant que élève , je suis donc une étudiante. On me dit souvent que je ressemble à Ryuko Matoi de Kill la kill.

Fourmis rouge.

La fourmi est connue pour ses capacités physiques incroyables et j'en ai hérité. On peut d'abord dire que j'ai une force égale à celle d'une fourmi, mais à taille humaine, autrement dit : une fourmi peut porter près de trente fois son poids, je peux porter près de trente fois mon poids. Physiquement, mis à part ma petite taille on ne peut pas voir que mon totem est la fourmi. Je possède une antenne discrète dissimulé en une mèche rouge, elle me sert comme pour les fourmis à pister et reconnaitre les odeurs, je suis donc une pisteuse hors-paires autant, voir plus, efficace que les chiens et les chats. J'ai aussi tout comme les fourmis la possibilité de marcher sur les murs. Autre détail inutile : j'ai la capacité de pisser de l'acide.

Mais j'ai aussi quelques désavantages, comme le fait d'être très réactives aux insecticides, ils ont pour effets de me rendre très malades pendant plusieurs jours, voir semaines si j'ai été aspergé à forte dose.

De nature protectrice, on me dit souvent que je m'emporte facilement, surtout quand quelqu'un qui ne m'inspire pas confiance s'approche de quelqu'un à qui je tiens. Je fais rarement dans la délicatesse et mon sang chaud fait que je n'ai pas beaucoup de contact avec les fortes têtes. C'est comme ça depuis que je suis née, seul ou avec les petits et les rejetés, mais personne ne touche à ma fourmilière, elle est plus précieuse que le monde à mes yeux.

Si on veut continuer dans la description de mon caractère de cochon, j'vais avouer que je suis plutôt rancunière. Je retiens beaucoup les vacheries et autres ennuies que l'on me cause, et je les rends généralement avec des intérêts. Je suis couverte de défauts, et on peut aussi dire que je suis des plus curieuses. J'ai envies de tout savoir, en espérant aider les gens, ou simplement, car ils me donnent envie d'en savoir plus. Certaines fois je serais curieuse des cours, mais c'est plus rare, car les cours ne m'intéressent pas vraiment, mis à part ceux d'EPS, c'est pour ça que je sèche souvent. Je ne suis pas dans les plus sage de cet internat, j'ai pour habitude de taquiner les surveillants qui sont là à nous fliquer et certains nous maltraite et nous haïssent. Le dégout qu'il m'inspire est à un niveau élevé. Mais quand on est aussi spécial que les gens qui peuplent cette école, on apprend à vivre avec ce genre de contrainte.
Autre chose sur moi, et c'est un détaille qui a beaucoup d'influence sur mon attitude, je suis chaste. Je n'ai jamais fait voeux de rester vierge, loin de là, mais je ne sais pas vraiment pourquoi, j'ai peur des contacts intime amicaux avec les hommes. Si c'est quelqu'un que je déteste je n'en aurais rien à carrer qu'il m'approche, mais si c'est un simple garçon qui veut être sans doute gentil avec moi... J'en aurais peur. Donc si vous êtes un gentil garçon et que l'envie vous prend de trop m'approcher, il faudra se préparer à recevoir un coup assez violent.

Sinon, entre nous, je souffre d'achluophobie. En bref, j'ai peur du noir. C'est assez désavantageux mais c'est mon fardeau. Certains ont peur des araignées, d'autres de nager, moi c'est la nuit noire.

Une histoire hein ? Au fond raconter sa vie ça sert pas à grand-chose. Mais je vais quand même le faire. Pour le plaisir d'ennuyer le monde avec la simple histoire que j'ai vécu. On peut commencer par le début et finir par aujourd'hui, et comme c'est plus simple, on va faire ça.
Ma vie commence comme celle de tout Homme : par une naissance. Pour ma part, j'ai montré pour la première fois ma tête fripé d'aubergine dans la ville de Letterkenny. Une jolie ville, grande, mais pas au point d'être excessivement pollué. Mais revenons à ma naissance, j'ai dû bien surprendre mes stupides géniteurs, car avoir une mèche rouge sur le crane alors qu'on vient de sortir du ventre de sa mère, c'est un cas rare chez les humains normalement constitués. Les médecins ont supposé que j'étais avancé sur ma croissance capillaire, je me demande comment ils ont pu avoir leur diplôme de médecine. J'ai donc vécu un an tout au plus avec mes parents. J'aurais voulu me rappeler de leur tête quand il m'ont vu marcher sur les murs et les plafonds de la maison. Mais je sais juste que quand ils ont vu ça, ils m'ont tout de suite emmené voir les médecins et scientifiques d'un laboratoire quelconque qui en ont conclu cette fois-ci que je faisais partie des cas de personne avec une âme mi humaine mi animal. A cette époque, les scientifiques n'étaient pas encore beaucoup avancés sur le sujet, je m'estime heureuse, car ils auraient pu me prendre comme un de leurs cobayes. Mais au lieu de ça, à cause de mon trop jeune âge, ils m'ont envoyé dans un orphelinat.

Dans un orphelinat j'ai grandi. Ce n'était pas la joie, les orphelinats sont souvent peuplé d'enfants pas forcement gentil et compréhensif, car peu d'entre eux ont eu la chance de se faire élever par leurs parents. Les enfants qui peuplaient mon orphelinat étaient stupides et méchants. Leur grande passion était de martyriser les gens différents d'eux. En tant qu'enfant totem, j'ai été bien entendu victime de leurs stupides agissements. On me jetait de nombreuses pierres, œufs et autres détritus sur la face. J'ai passé mes premières années à l'orphelinat rejetée et mal aimée. Puis est arrivée Marguerite. Elle avait mon âge, deux beaux yeux bleus, une magnifique chevelure blonde ramenée la plupart du temps en queue de cheval. Elle avait une peau beige clair, presque blanche. Marguerite était gentille et aimable, elle était ma première amie. Elle était la première à être venu vers moi, le sourire aux lèvres en me demandant gentiment mon nom. Elle avait un petit accent français, car elle était bilingue. Elle a eu le temps d'apprendre l'anglais avec son père et le français avec sa mère, je l'enviais d'avoir pu profiter de l'amour de ses parents. J'enviais aussi sa force, car mal grès qu'elle ait perdu ses deux parents dans un accident, elle gardait le sourire. Grâce à elle, j'ai su me reprendre en mains, ne pas me laisser faire par les autres enfants. Nous avions, ensemble, fait la rencontre de quelques autres rejetés. Nous étions une petite bande de bras cassés, de grands moches et de petits gros. Les autres enfants nous avaient surnommé « les monstres ». Mais nous on s'en foutait, on riait ensemble, on jouait ensemble, on vivait ensemble. Ensemble, on était indestructible. Ils étaient ma famille, ils m'acceptaient et je les acceptais.

C'est simple la vie quand t'es gosse. Moi j'ignorais beaucoup de choses, j'étais inattentive en cours mis à part quand je trouvais les choses intéressantes. Comme quand le professeur c'est mis à nous parler de fourmis où de la science. Il n'y avait qu'en science et en art que je me plaisais à l'orphelinat. Le reste du temps, je regardais par la fenêtre. Je faisais quelques idioties pour faire rire mon groupe de petits monstres que j'aime tant, ça m'a apporté quelques punitions mineurs. Puis un jour, il fallait bien que ça arrive, je me suis fait convoquer par la stupide directrice de l'orphelinat. C'était suite à une bagarre dont je ne me souviens pas. Un trio de garçon un peu plus vieux que moi est venu nous embêter et ont jeté un œuf, qui est atterri en plein dans le visage de Marguerite. Selon les racontars je me serais énervé et j'aurais soulevé les trois garçons à la fois puis les aurais envoyés valser à l'autre bout de la cour. Mais je ne m'en rappel pas du tout. Pour ça, j'ai donc été convoqué et punis sévèrement par la directrice de l'établissement. Il fut ensuite décidé que j'allais quitter l'orphelinat six mois après l'incident. J'allais être transféré dans une école pour les enfants à problèmes comme moi. J'étais déchirée à l'idée de quitter Marguerite, car oui, j'étais tombée amoureuse de Marguerite. Mais ça, elle ne le saura jamais, car le jour de mon départ, les hommes qui étaient venus me chercher ne m'ont pas laissé dire au revoir, ou plutôt adieu à mes amis.

Bon. J'me présente je m'appelle Olaf, j'aime les gros câlin tu m'appelle pas, enfin si, tu m'appel Eldrid ou El' c: En fait j'm'appelle Marthe maibon faut pas l'dire.
J'ai 15 bananes et des clémentines. J'habite dans une région avec un nom d'alcool et où il pleut tout le temps. Tu peux ajouté aussi qu'on est des producteurs de camembert eweh maggle.
Voilà c'est tout pour moi ! ♥