Je m’appelle Sook Yun, mais on préfère m’appeler Papa. Je suis né il y a 30 printemps, dans un coin paumé de Corée du nord, je suis donc Nord Coréen. Comme tu peux le voir, je suis un homme, et pour tout te dire je suis Hétérosexuel. Je suis dans l’école depuis maintenant, en tant que Surveillant, je suis donc surveillant. On me dit souvent que je ressemble à Shibazaki Kenjirou de Zenkyou no terror.

Description du caractère d’au moins sept lignes.

Dans un pays comme la Corée du nord, l'individu n'existe pas. Il appartient à la race pur des enfants de notre illustre pays. Je n'ai donc jamais essayé de comprendre qui vraiment j'était.
La chose la plus importante qui me définie maintenant est ma fille, la seule personne qui compte pour moi. Sans doute peu pour un homme, mais elle est ce qu'il me reste d'une vie de dur labeur.
Maintenant que je suis dans un autre pays, on me dit morne et faiblard. En effet, je n'essaye même pas de parler à des connaissances, je suis dans une optique de gagner de l'argent pour ma fille. Pour qu'elle mange bien, se lave bien et n'attrape pas froid. La voir grandir me fait peur mais me rend tellement fier d'elle. J'aimerai tellement que ma femme, Haneul Yun,  la voit de ses propres yeux. Elle me manque tellement, je ne me lasse pas de penser à elle. Son execution me marqua au plus profond de moi, et m'a laissé quelques séquelles.
La vie a été dure en Corée du Nord, j'ai essayé d'être un parfait père de famille et citoyen en travaillant le plus que je pouvais.
Après une petite période d'adaption aux États-Unis, j'ai effectivement perdu certain reflexes, mais je suis du matin, me réveillant à 5 heure tous les jours pour faire mes exercices.
En effet je n'ai pas envie de perdre ma condition physique que j'ai eu autrefois, elle peut me servir dans mon travail et pour protéger ma fille.

Histoire d'au moins dix lignes.

Je n'ai pas beaucoup eu de souvenirs de mon enfance, ni de mon adolescence. C'est pour ça que je dis toujours que ma vie a commencée lorsque j'ai rencontré la femme de ma vie. Lorsque j'ai eu un enfant avec elle. Une bénédiction. J'avais donc deux choses à protéger, un but que je me suis fixé même avec un travail qui n'amasse pas beaucoup, mais suffisamment pour que nous vivions tous en bonne santé. Du moins, je l'espérai.
Ma femme travaillait dans les champs, et moi, je réparais des machines agricoles qui ne servirons jamais pour aider ma compagne.
Alors que tout se passait sans accros, ma fille qui revenait du d'une journée d'école s'écroula, en voulant atteindre sa place habituelle. Elle était très malade.
C'est ainsi que je me suis senti le plus inutile être humain sur terre. Ma femme le voyait bien dans mes yeux. Si nous ne faisons rien, elle meurt.
Un parent ne doit jamais assister à l'enterrement de l'un de ses enfants.
Alors que nous manquions de quoi la nourrir depuis deux jours, l'impensable se produisit.

Un après midi ensoleillé, j'entendit des coups et des cris en dehors de la grange. Normalement on ne doit pas se détourner du travail lorsqu'un soldat du régime fait son "travail". Mais la voix qui produisait de tels cris de douleur étaient bien celle de ma femme.
Son sort était donc scellé. Elle se fit prendre à voler une pomme de terre et quelques grains de riz. Pour cela elle fut condamné à mort, par pendaison, publiquement, pour que la leçon passe.

Lors de la sanction, j'ai du prendre ma fille avec moi, c'était les ordres. Alors qu'elle tenait difficilement debout, nous attendions l'exécution en silence. Pas un mot. Un corde se tend, des larmes coulent en silence.

N'ayant pas le temps de pleurer, j'avais essayé de contenir toute cette rage, difficilement. Et sachant que la frontière n'était pas loin, j'avais décidé de prendre ma fille et de m'enfuir. Je ne pouvais pas la laisser mourir ici.
Tout cela se passa tellement rapidement qu'elle ne posa pas une question lorsque nous nous vîmes courir pour traverser la rivière gelé, esquivant des cadavre au passage.

Lorsqu'un soldat de la frontière nous arrêta pour nous poser des question, j'ai cru que tout était fini. Alors que ma fille se cachait derrière moi, je m'écroulais enfin tout en sachant que ma vie et celle de mon enfant se finirai dans les prochaines heures.
Mais le soldat aux rang élevé me pris par l'avant bras, et quitta la frontière avec nous.
Mon esprit était embrumé, je ne faisait qu'avancer, rassurer ma fille et lui tenir la main. Je lui passait mes provisions si elle avait encore faim.
Je ne comprend toujours pas pourquoi ce soldat nous as sauvé, mais l'ayant fait, je lui doit la vie. Pour moi il fait parti de la famille.
Je ne me souvient plus trop de notre évasion.
Mais il nous a trouvé un logement et une place sur pour nous tous, et surtout ma fille.
Je n'ai pas trop compris le terme "animal-totem", mais les gens avaient un problème avec ça.
Elle fut donc inscrite dans une école adaptée, et je la suivit pour veiller sur elle. J'ai donc postulé en tant que surveillant. Bien que je ne connais que certains mot basiques dans la langue anglaise.
Alors que ma fille était presque aussi douée dans les deux langues. Je suis vraiment fier d'elle.

LOLOLOL, histoire imaginé en skype à deux heures du matin izi posay. Ça rendait mieux dans ma tête.
Je m'appelle Téo, mais on m'appelle Dieu enfait. 19 ans.
J'ai invité les deux jeunes gens sur le forum. Pub efficace pelow.
Je connais Hyun Ae depuis 3 ans, sur un forum rp. Et Jin Hyun depuis 3 ans aussi mais c'est son premier forum rp.
Sinon, je suis étudiant en vacances, et j'aime ne rien faire. Bisous!